PARIS – Le conflit au Yémen, déjà ancien, est plus près qu’il ne l’a jamais été de se résoudre. Les Yéménites, quelle que soit la partie qu’ils appuient, épuisés par les combats, n’ont pas tardé à reprendre pour eux-mêmes l’appel lancé au mois de mars par le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres en faveur d’un cessez-le-feu partout dans le monde pendant la pandémie de Covid-19. Le mois suivant, la coalition conduite au Yémen par les Saoudiens annonçait unilatéralement une pause de deux semaines dans les hostilités, qu’elle a par la suite allongée.
PARIS – Le conflit au Yémen, déjà ancien, est plus près qu’il ne l’a jamais été de se résoudre. Les Yéménites, quelle que soit la partie qu’ils appuient, épuisés par les combats, n’ont pas tardé à reprendre pour eux-mêmes l’appel lancé au mois de mars par le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres en faveur d’un cessez-le-feu partout dans le monde pendant la pandémie de Covid-19. Le mois suivant, la coalition conduite au Yémen par les Saoudiens annonçait unilatéralement une pause de deux semaines dans les hostilités, qu’elle a par la suite allongée.