LONDRES – Il y a trois mois, après avoir signé un décret en mai annonçant le retrait de son administration de l’accord nucléaire de 2015 avec l’Iran, le président américain Donald Trump diffusait le gazouillis suivant. « Les sanctions contre l’Iran sont officiellement en vigueur ». Il a poursuivi en pérorant sur le retour des « sanctions les plus sévères jamais imposées », comme s’il sonnait le glas du Plan d’action global commun (PAGC), le nom officiel de l’accord.
LONDRES – Il y a trois mois, après avoir signé un décret en mai annonçant le retrait de son administration de l’accord nucléaire de 2015 avec l’Iran, le président américain Donald Trump diffusait le gazouillis suivant. « Les sanctions contre l’Iran sont officiellement en vigueur ». Il a poursuivi en pérorant sur le retour des « sanctions les plus sévères jamais imposées », comme s’il sonnait le glas du Plan d’action global commun (PAGC), le nom officiel de l’accord.