CHICAGO – Du point de vue de la stabilité européenne, les élections italiennes n’auraient pas pu fournir pire résultat. Le Parlement italien est divisé entre trois forces politiques qui sont incompatibles mais pas assez fortes pour gouverner seules. Pire encore, une de ces forces, qui a remporté 25% des suffrages, est un parti populiste anti-euro, tandis que l'autre, un groupe eurosceptique dirigé par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi, a reçu près de 30% de soutien, donnant une majorité claire contre l’euro.
CHICAGO – Du point de vue de la stabilité européenne, les élections italiennes n’auraient pas pu fournir pire résultat. Le Parlement italien est divisé entre trois forces politiques qui sont incompatibles mais pas assez fortes pour gouverner seules. Pire encore, une de ces forces, qui a remporté 25% des suffrages, est un parti populiste anti-euro, tandis que l'autre, un groupe eurosceptique dirigé par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi, a reçu près de 30% de soutien, donnant une majorité claire contre l’euro.