NEW YORK - La décision de la Réserve fédérale américaine d'entreprendre un troisième cycle d'assouplissement quantitatif (« quantitative easing »), baptisé QE3, a soulevé trois questions importantes. Est-ce que QE3 pourra relancer la croissance économique anémique aux Etats-Unis ? Conduira-t-il à une hausse persistante des actifs risqués, en particulier aux États-Unis et dans d’autres marchés boursiers mondiaux ? Enfin, ses effets sur la croissance du PIB et des marchés boursiers seront-ils semblables ou différents ?
NEW YORK - La décision de la Réserve fédérale américaine d'entreprendre un troisième cycle d'assouplissement quantitatif (« quantitative easing »), baptisé QE3, a soulevé trois questions importantes. Est-ce que QE3 pourra relancer la croissance économique anémique aux Etats-Unis ? Conduira-t-il à une hausse persistante des actifs risqués, en particulier aux États-Unis et dans d’autres marchés boursiers mondiaux ? Enfin, ses effets sur la croissance du PIB et des marchés boursiers seront-ils semblables ou différents ?