BRUXELLES – L’humeur des marchés financiers européens a changé. Pour le moment, la possibilité d'une sortie grecque de la zone euro n’est plus sur la table. Pour autant que les spreads de taux d'intérêt sur les emprunts d'état italiens et espagnols puissent servir de guide en la matière, les porteurs d'obligations ne parient plus sur un éclatement de la zone euro. Le marché boursier européen est même reparti à la hausse la semaine suivant les élections italiennes peu concluantes du mois dernier.
BRUXELLES – L’humeur des marchés financiers européens a changé. Pour le moment, la possibilité d'une sortie grecque de la zone euro n’est plus sur la table. Pour autant que les spreads de taux d'intérêt sur les emprunts d'état italiens et espagnols puissent servir de guide en la matière, les porteurs d'obligations ne parient plus sur un éclatement de la zone euro. Le marché boursier européen est même reparti à la hausse la semaine suivant les élections italiennes peu concluantes du mois dernier.