LONDON – Au départ, cela semble difficile à comprendre : les flux de capitaux globaux se dirigent des pays pauvres vers les pays riches. Les comptes courants des pays émergents sont en surplus, pendant que les économies avancées connaissent des déficits. On s’attendrait à ce que les pays en voie de développement, qui connaissent une croissance rapide et une rareté relative de capital (et sont relativement jeunes), importent du capital en provenance reste du monde en vue de financer leurs consommation et investissement. Pourquoi donc envoient-ils leur capital vers les pays riches ?
LONDON – Au départ, cela semble difficile à comprendre : les flux de capitaux globaux se dirigent des pays pauvres vers les pays riches. Les comptes courants des pays émergents sont en surplus, pendant que les économies avancées connaissent des déficits. On s’attendrait à ce que les pays en voie de développement, qui connaissent une croissance rapide et une rareté relative de capital (et sont relativement jeunes), importent du capital en provenance reste du monde en vue de financer leurs consommation et investissement. Pourquoi donc envoient-ils leur capital vers les pays riches ?