Ces dernières semaines, les responsables de divers mouvements d’opposition géorgiens, notamment d’Antisoros et de Justice, ont été emprisonnés à la suite d’accusations injustifiées d’avoir tramé un coup d’État pour le compte de la Russie. Cette vague de répression politique trahit tout bonnement les efforts désespérés du président Mikhail Saakachvili de se cramponner au pouvoir. Pour faire face à la propagation du dissentiment populaire et au durcissement de l’opposition, les autorités ont tenté de contrôler les organisations non gouvernementales (ONG) et de renforcer les forces de sécurité. Mais cela ne fera qu’engendrer des protestations massives et compromettra, au bout du compte, la transition démocratique de la Géorgie que Saakachvili prétend défendre.
Ces dernières semaines, les responsables de divers mouvements d’opposition géorgiens, notamment d’Antisoros et de Justice, ont été emprisonnés à la suite d’accusations injustifiées d’avoir tramé un coup d’État pour le compte de la Russie. Cette vague de répression politique trahit tout bonnement les efforts désespérés du président Mikhail Saakachvili de se cramponner au pouvoir. Pour faire face à la propagation du dissentiment populaire et au durcissement de l’opposition, les autorités ont tenté de contrôler les organisations non gouvernementales (ONG) et de renforcer les forces de sécurité. Mais cela ne fera qu’engendrer des protestations massives et compromettra, au bout du compte, la transition démocratique de la Géorgie que Saakachvili prétend défendre.