SEOUL – Selon la télévision d’état nord coréenne, la crise cardiaque qui a causé la mort de Kim Jong-il le 17 décembre dernier est « due à un stress mental et physique causé par la surcharge de travail. » A l’écoute de cette information, une question m’est tout de suite venue à l’esprit : si nous acceptons ce diagnostique officiel, pourquoi Kim avait-il besoin de travailler autant, malgré une santé fragile ? Dans un certain sens, sa mort soudaine semble symboliser l’impuissance d’un dirigeant désespéré confronté à d’écrasants défis.
SEOUL – Selon la télévision d’état nord coréenne, la crise cardiaque qui a causé la mort de Kim Jong-il le 17 décembre dernier est « due à un stress mental et physique causé par la surcharge de travail. » A l’écoute de cette information, une question m’est tout de suite venue à l’esprit : si nous acceptons ce diagnostique officiel, pourquoi Kim avait-il besoin de travailler autant, malgré une santé fragile ? Dans un certain sens, sa mort soudaine semble symboliser l’impuissance d’un dirigeant désespéré confronté à d’écrasants défis.