CAMBRIDGE – Tandis que l’année 2021 touchait à sa fin, la Russie rassemblait des troupes en masse à sa frontière avec l’Ukraine, des avions de chasse chinois survolaient Taïwan, la Corée du Nord poursuivait son programme d’armements nucléaires, et les combattants talibans patrouillaient dans les rues de Kaboul. Face à tous ces événements, un ami m’a interrogé : « Qu’est-il advenu du soft power ? ».
CAMBRIDGE – Tandis que l’année 2021 touchait à sa fin, la Russie rassemblait des troupes en masse à sa frontière avec l’Ukraine, des avions de chasse chinois survolaient Taïwan, la Corée du Nord poursuivait son programme d’armements nucléaires, et les combattants talibans patrouillaient dans les rues de Kaboul. Face à tous ces événements, un ami m’a interrogé : « Qu’est-il advenu du soft power ? ».