MOSCOU – L’apparition à la tête du Kremlin d'un dirigeant sans lien avec le KGB, le président Dmitri Medvedev, sur fond de crise économique, a laissé penser que lors de sa venue à Moscou, le président des Etats-Unis Barack Obama verrait un pays au bord du dégel politique, une nouvelle perestroïka . Mais remettre à zéro les relations russo-américaines sera plus difficile que ce qu’Obama et son équipe avaient escompté.
MOSCOU – L’apparition à la tête du Kremlin d'un dirigeant sans lien avec le KGB, le président Dmitri Medvedev, sur fond de crise économique, a laissé penser que lors de sa venue à Moscou, le président des Etats-Unis Barack Obama verrait un pays au bord du dégel politique, une nouvelle perestroïka . Mais remettre à zéro les relations russo-américaines sera plus difficile que ce qu’Obama et son équipe avaient escompté.