NEW DELHI – Lorsqu’on rend compte d’une tragédie, l’une des règles essentielles du journalisme est d’être sensible aux victimes et à celles et ceux qui sont dans la peine. Les médias occidentaux, qui font aussi fonction de médias internationaux, observent généralement ce principe chez eux, mais l’oublient lorsqu’ils couvrent les catastrophes frappant les sociétés non occidentales.
NEW DELHI – Lorsqu’on rend compte d’une tragédie, l’une des règles essentielles du journalisme est d’être sensible aux victimes et à celles et ceux qui sont dans la peine. Les médias occidentaux, qui font aussi fonction de médias internationaux, observent généralement ce principe chez eux, mais l’oublient lorsqu’ils couvrent les catastrophes frappant les sociétés non occidentales.