AMSTERDAM – On dit souvent que la première victime en temps de guerre est la vérité. Mais la vérité, c’est que les femmes sont les premières victimes de guerre. L'Unicef, Fonds des Nations unies pour l'enfance, a récemment observé que la violence sexuelle se répandait généralement comme une épidémie dans les zones de conflit. Qu’il s'agisse de guerres civiles, de pogroms ou d'autres conflits armés, le corps des femmes fait bien trop souvent partie du champ de bataille. Les victimes d'atrocités sexuelles à grande échelle sont aussi bien des fillettes que des femmes âgées.
AMSTERDAM – On dit souvent que la première victime en temps de guerre est la vérité. Mais la vérité, c’est que les femmes sont les premières victimes de guerre. L'Unicef, Fonds des Nations unies pour l'enfance, a récemment observé que la violence sexuelle se répandait généralement comme une épidémie dans les zones de conflit. Qu’il s'agisse de guerres civiles, de pogroms ou d'autres conflits armés, le corps des femmes fait bien trop souvent partie du champ de bataille. Les victimes d'atrocités sexuelles à grande échelle sont aussi bien des fillettes que des femmes âgées.