BERLIN – Les démarches entreprises par les États-Unis et la Russie pour éliminer l’arsenal chimique syrien – désormais inscrites dans le cadre de la résolution 2118 du Conseil de sécurité des Nations Unies – pourraient bien déboucher sur une approche plus constructive en direction de la fin de la guerre civile dans le pays, dans la mesure où le Conseil de sécurité exige également que la très attendue conférence de Genève II sur la Syrie se réunisse aussi rapidement que possible. Et cela à juste titre : élimination du stock d’armes chimiques syriennes et processus politique en direction de la fin de la guerre doivent s’opérer de manière simultanée.
BERLIN – Les démarches entreprises par les États-Unis et la Russie pour éliminer l’arsenal chimique syrien – désormais inscrites dans le cadre de la résolution 2118 du Conseil de sécurité des Nations Unies – pourraient bien déboucher sur une approche plus constructive en direction de la fin de la guerre civile dans le pays, dans la mesure où le Conseil de sécurité exige également que la très attendue conférence de Genève II sur la Syrie se réunisse aussi rapidement que possible. Et cela à juste titre : élimination du stock d’armes chimiques syriennes et processus politique en direction de la fin de la guerre doivent s’opérer de manière simultanée.