LONDRES – Ce mois de juin marque le centenaire du traité de Versailles, l’un des principaux accords de la fin de la Première Guerre mondiale. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la roue tourne. Car si le traité imposait hier des réparations extrêmement lourdes à l’Allemagne, celle-ci est aujourd’hui à l’initiative de l’imposition d’une lourde dette pour un autre membre de la zone euro, la Grèce.
LONDRES – Ce mois de juin marque le centenaire du traité de Versailles, l’un des principaux accords de la fin de la Première Guerre mondiale. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la roue tourne. Car si le traité imposait hier des réparations extrêmement lourdes à l’Allemagne, celle-ci est aujourd’hui à l’initiative de l’imposition d’une lourde dette pour un autre membre de la zone euro, la Grèce.