CAMBRIDGE (MASS.) – Aux États-Unis et lorsqu’il est question des États-Unis, les débats sur les questions raciales ont fréquemment la faveur des médias, surtout après des actes de violence raciale ou lors des procédures judiciaires contre les agresseurs. Mais si l’attention des Américains aux questions raciales va et vient au rythme de l’information, il semble difficile de trouver un consensus tant parmi les citoyens que parmi les responsables politiques sur les moyens d’y répondre, voire sur le bien-fondé d’une réponse.
CAMBRIDGE (MASS.) – Aux États-Unis et lorsqu’il est question des États-Unis, les débats sur les questions raciales ont fréquemment la faveur des médias, surtout après des actes de violence raciale ou lors des procédures judiciaires contre les agresseurs. Mais si l’attention des Américains aux questions raciales va et vient au rythme de l’information, il semble difficile de trouver un consensus tant parmi les citoyens que parmi les responsables politiques sur les moyens d’y répondre, voire sur le bien-fondé d’une réponse.