PARIS – Le 22 mars dernier, le Future of Life Institute publiait une lettre ouverte appelant à un moratoire de six mois sur le développement de systèmes d’intelligence artificielle générative, au nom des potentiels dangers pour l’humanité que cette technologie pouvait représenter. On ne compte plus, depuis lors, les acteurs de l’écosystème technologique ayant fait part de préoccupations similaires – jusqu’à Geoffrey Hinton, reconnu comme l’un des pères fondateurs de l’IA, qui annonçait récemment quitter Google pour pouvoir alerter sur sa menace existentielle.
PARIS – Le 22 mars dernier, le Future of Life Institute publiait une lettre ouverte appelant à un moratoire de six mois sur le développement de systèmes d’intelligence artificielle générative, au nom des potentiels dangers pour l’humanité que cette technologie pouvait représenter. On ne compte plus, depuis lors, les acteurs de l’écosystème technologique ayant fait part de préoccupations similaires – jusqu’à Geoffrey Hinton, reconnu comme l’un des pères fondateurs de l’IA, qui annonçait récemment quitter Google pour pouvoir alerter sur sa menace existentielle.