NEW YORK – Chaque année au mois de septembre, de nombreux présidents, chefs de gouvernements et ministres des Affaires étrangères affluent vers New York pour quelques jours. Ils viennent participer à l’ouverture de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, afin d’y prononcer des discours qui bien souvent mobiliseront davantage l’attention de leur propre pays que celle du hall de l’ONU, ainsi que pour intégrer à leur emploi du temps autant de rendez-vous que possible – dans le cadre d’une sorte d’équivalent diplomatique du speed dating.
NEW YORK – Chaque année au mois de septembre, de nombreux présidents, chefs de gouvernements et ministres des Affaires étrangères affluent vers New York pour quelques jours. Ils viennent participer à l’ouverture de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, afin d’y prononcer des discours qui bien souvent mobiliseront davantage l’attention de leur propre pays que celle du hall de l’ONU, ainsi que pour intégrer à leur emploi du temps autant de rendez-vous que possible – dans le cadre d’une sorte d’équivalent diplomatique du speed dating.