SÉOUL – Rétrospectivement, la décision prise par le parti communiste chinois (PCC) d’imposer à Hong Kong une nouvelle loi de sécurité nationale semble avoir été prédéterminée. Historiquement, les puissances émergentes tentent toujours d’étendre leurs sphères d’influence géopolitique une fois qu’elles ont franchi un certain seuil de développement économique. Ce n’était, avant que la Chine ne se débarrasse de l’accord « un pays, deux systèmes » et n’impose ses lois et ses normes à Hong Kong, territoire qu’elle considère appartenir intégralement à la mère patrie, qu’une question de temps.
SÉOUL – Rétrospectivement, la décision prise par le parti communiste chinois (PCC) d’imposer à Hong Kong une nouvelle loi de sécurité nationale semble avoir été prédéterminée. Historiquement, les puissances émergentes tentent toujours d’étendre leurs sphères d’influence géopolitique une fois qu’elles ont franchi un certain seuil de développement économique. Ce n’était, avant que la Chine ne se débarrasse de l’accord « un pays, deux systèmes » et n’impose ses lois et ses normes à Hong Kong, territoire qu’elle considère appartenir intégralement à la mère patrie, qu’une question de temps.