NEW HAVEN – Le 20e Congrès du Parti communiste chinois vient de s’achever. En dépit des fanfares et du matraquage médiatique, ce fut un événement vide, qui n’a rien révélé que nous ne savions déjà sur la Chine – une autocratie qui ne démord pas de ses ambitions grandioses et de ses emphases idéologiques, mais qui se révèle terriblement mal préparée au futur incertain qui l’attend, empreint de risques en grande partie générés par le régime lui-même. C’est une évidence lorsque les résultats du Congrès sont examinés sous trois angles : leadership, stratégie et conflit.
NEW HAVEN – Le 20e Congrès du Parti communiste chinois vient de s’achever. En dépit des fanfares et du matraquage médiatique, ce fut un événement vide, qui n’a rien révélé que nous ne savions déjà sur la Chine – une autocratie qui ne démord pas de ses ambitions grandioses et de ses emphases idéologiques, mais qui se révèle terriblement mal préparée au futur incertain qui l’attend, empreint de risques en grande partie générés par le régime lui-même. C’est une évidence lorsque les résultats du Congrès sont examinés sous trois angles : leadership, stratégie et conflit.