ISTANBUL – Les électeurs turcs, qui déposaient leur bulletin dans l’urne ce dimanche de Pâques pour un référendum concernant dix-huit amendements constitutionnels déjà approuvés par l’Assemblée nationale, étaient face à un choix très clair : un « oui » changerait du tout au tout le régime politique de leur pays et ouvrirait un nouveau chapitre de l’histoire turque. Plus d’un siècle de régime parlementaire serait remplacé par un régime présidentiel « maison », taillé sur mesure pour celui qui occupe aujourd’hui la fonction, Recep Tayyp Erdoǧan.
ISTANBUL – Les électeurs turcs, qui déposaient leur bulletin dans l’urne ce dimanche de Pâques pour un référendum concernant dix-huit amendements constitutionnels déjà approuvés par l’Assemblée nationale, étaient face à un choix très clair : un « oui » changerait du tout au tout le régime politique de leur pays et ouvrirait un nouveau chapitre de l’histoire turque. Plus d’un siècle de régime parlementaire serait remplacé par un régime présidentiel « maison », taillé sur mesure pour celui qui occupe aujourd’hui la fonction, Recep Tayyp Erdoǧan.