ISTANBUL – Selon les idées reçues, si l’Iran développe l’arme nucléaire, l’Arabie saoudite, la Turquie et possiblement l’Égypte tenteront de le faire également. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est allé plus loin en s’adressant au Congrès américain début mars, en disant que le simple fait de permettre à l’Iran de poursuivre son programme d’enrichissement d’uranium « lancerait une course aux armements nucléaire dans la région la plus dangereuse de la planète ».
ISTANBUL – Selon les idées reçues, si l’Iran développe l’arme nucléaire, l’Arabie saoudite, la Turquie et possiblement l’Égypte tenteront de le faire également. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est allé plus loin en s’adressant au Congrès américain début mars, en disant que le simple fait de permettre à l’Iran de poursuivre son programme d’enrichissement d’uranium « lancerait une course aux armements nucléaire dans la région la plus dangereuse de la planète ».