ATHÈNES – « Un remaniement gouvernemental minime, et plus coûteux que jamais dans l’histoire de la Grèce. » Voilà une manière de décrire précisément l’issue des élections législatives grecques du 20 septembre dernier. En effet, à quelques exceptions près, les mêmes ministres ont fait leur retour aux mêmes postes, dans le cadre d’une administration soutenue par une étrange coalition identique à la précédente (composée de la gauche de Syriza et de l’aile droite plus réduite du parti des Grecs indépendants), qui a réuni un nombre de voix légèrement inférieur à celui qu’avait rallié la précédente administration.
ATHÈNES – « Un remaniement gouvernemental minime, et plus coûteux que jamais dans l’histoire de la Grèce. » Voilà une manière de décrire précisément l’issue des élections législatives grecques du 20 septembre dernier. En effet, à quelques exceptions près, les mêmes ministres ont fait leur retour aux mêmes postes, dans le cadre d’une administration soutenue par une étrange coalition identique à la précédente (composée de la gauche de Syriza et de l’aile droite plus réduite du parti des Grecs indépendants), qui a réuni un nombre de voix légèrement inférieur à celui qu’avait rallié la précédente administration.