CAMBRIDGE – Lors d’une semaine ordinaire de fin mai, Donald J. Trump, le candidat probable du parti républicain à l’élection présidentielle américaine, a une fois de plus fait la une. Il a déclaré qu’un ancien président, populaire par ailleurs, était un « violeur », a changé de position sur une politique après l’autre, s’est vanté du fait que son colistier pouvait être « n’importe qui » qui le soutenait et a déclaré devant la National Rifle Association que Hillary Clinton, la candidate probable du parti démocrate, « libérerait de prison des criminels violents ».
CAMBRIDGE – Lors d’une semaine ordinaire de fin mai, Donald J. Trump, le candidat probable du parti républicain à l’élection présidentielle américaine, a une fois de plus fait la une. Il a déclaré qu’un ancien président, populaire par ailleurs, était un « violeur », a changé de position sur une politique après l’autre, s’est vanté du fait que son colistier pouvait être « n’importe qui » qui le soutenait et a déclaré devant la National Rifle Association que Hillary Clinton, la candidate probable du parti démocrate, « libérerait de prison des criminels violents ».