NEW YORK – En réponse à l’inculpation de Donald Trump par la justice fédérale pour avoir tenté d’inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020 et de rester au pouvoir, les avocats et autres défenseurs de Trump ont fait valoir qu’il ne faisait qu’exercer son droit à la liberté d’expression, protégée par le premier amendement de la Constitution des États-Unis. Pour comprendre la situation, il faut donc déterminer où s’arrête la liberté d’expression et où commence la fraude criminelle.
NEW YORK – En réponse à l’inculpation de Donald Trump par la justice fédérale pour avoir tenté d’inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020 et de rester au pouvoir, les avocats et autres défenseurs de Trump ont fait valoir qu’il ne faisait qu’exercer son droit à la liberté d’expression, protégée par le premier amendement de la Constitution des États-Unis. Pour comprendre la situation, il faut donc déterminer où s’arrête la liberté d’expression et où commence la fraude criminelle.