MADRID – Il est regrettable que si peu d’accords internationaux aient été conclus ces dernières années. Dans une période où la compétition entre grandes puissances a généralement eu raison de la coopération, deux exceptions notables – l’accord avec l’Iran sur le nucléaire et l’accord de Paris sur le climat – ont laissé espérer que des réponses multilatérales aux défis mondiaux, dûment traduites en langage diplomatique, étaient encore possibles.
MADRID – Il est regrettable que si peu d’accords internationaux aient été conclus ces dernières années. Dans une période où la compétition entre grandes puissances a généralement eu raison de la coopération, deux exceptions notables – l’accord avec l’Iran sur le nucléaire et l’accord de Paris sur le climat – ont laissé espérer que des réponses multilatérales aux défis mondiaux, dûment traduites en langage diplomatique, étaient encore possibles.