PRETORIA – Le récent voyage du président américain Joe Biden en Angola n'était que sa deuxième visite en Afrique, après son apparition à la conférence des Nations unies sur le changement climatique de 2022 à Sharm El-Sheikh. Survenant vers la fin de sa présidence, cette visite a parfaitement illustré le mépris des États-Unis pour le continent. Pour les États-Unis, l'Afrique est le théâtre gênant d'une rivalité stratégique, qui n'attire l'attention que pour ses minerais et ses matières premières de grande valeur.
PRETORIA – Le récent voyage du président américain Joe Biden en Angola n'était que sa deuxième visite en Afrique, après son apparition à la conférence des Nations unies sur le changement climatique de 2022 à Sharm El-Sheikh. Survenant vers la fin de sa présidence, cette visite a parfaitement illustré le mépris des États-Unis pour le continent. Pour les États-Unis, l'Afrique est le théâtre gênant d'une rivalité stratégique, qui n'attire l'attention que pour ses minerais et ses matières premières de grande valeur.