NEW YORK – Comment les deux plus vénérables et puissantes démocraties de la planète, le Royaume-Uni et les États-Unis, se sont-elles retrouvées gouvernées par un Donald Trump et, aujourd’hui, un Boris Johnson ? Trump n’a pas tort d’appeler Johnson le « Trump [de] Grande- Bretagne » (sic). La ressemblance n’est pas seulement une question de personnalité ou de style : elle traduit aussi les faiblesses patentes d’institutions politiques qui ont permis que de tels hommes prennent le pouvoir.
NEW YORK – Comment les deux plus vénérables et puissantes démocraties de la planète, le Royaume-Uni et les États-Unis, se sont-elles retrouvées gouvernées par un Donald Trump et, aujourd’hui, un Boris Johnson ? Trump n’a pas tort d’appeler Johnson le « Trump [de] Grande- Bretagne » (sic). La ressemblance n’est pas seulement une question de personnalité ou de style : elle traduit aussi les faiblesses patentes d’institutions politiques qui ont permis que de tels hommes prennent le pouvoir.