Le Forum économique mondial de Davos est considéré à juste titre comme un “baromètre” mondial. Mais le magnifique soleil qui brille à Davos ces jours-ci ne peut effacer les ombres de la crise financière qui recouvre le monde et a jeté un froid sur la réunion de cette année. Aujourd’hui, plus que jamais, la fière devise du Forum : “S’engager à améliorer l’état du monde” semble déconnectée de la réalité. Ce n’est pas la confiance qui domine à Davos en 2008, mais plutôt un sentiment d’impuissance, voire de perplexité, devant la complexité croissante du monde.
Le Forum économique mondial de Davos est considéré à juste titre comme un “baromètre” mondial. Mais le magnifique soleil qui brille à Davos ces jours-ci ne peut effacer les ombres de la crise financière qui recouvre le monde et a jeté un froid sur la réunion de cette année. Aujourd’hui, plus que jamais, la fière devise du Forum : “S’engager à améliorer l’état du monde” semble déconnectée de la réalité. Ce n’est pas la confiance qui domine à Davos en 2008, mais plutôt un sentiment d’impuissance, voire de perplexité, devant la complexité croissante du monde.