LONDRES – Interpréter le résultat d'une élection, notamment en cas de faible participation, est toujours délicat. Dans le cas des récentes élections au Parlement européen, les résultats sont hétérogènes. C'est en Italie qu'ils sont le plus spectaculaire. Le parti pro-européen et réformiste du Premier ministre Matteo Renzi a remporté plus de 40% des suffrages. En Allemagne les chrétiens-démocrates de la chancelière Angela Merkel arrivent en tête et les sociaux-démocrates ont réalisé un bon score. Dans certains cas, la politique intérieure a joué un rôle décisif dans le choix des électeurs.
LONDRES – Interpréter le résultat d'une élection, notamment en cas de faible participation, est toujours délicat. Dans le cas des récentes élections au Parlement européen, les résultats sont hétérogènes. C'est en Italie qu'ils sont le plus spectaculaire. Le parti pro-européen et réformiste du Premier ministre Matteo Renzi a remporté plus de 40% des suffrages. En Allemagne les chrétiens-démocrates de la chancelière Angela Merkel arrivent en tête et les sociaux-démocrates ont réalisé un bon score. Dans certains cas, la politique intérieure a joué un rôle décisif dans le choix des électeurs.