STOKHOLM – L’accord sur le programme nucléaire iranien conclu entre l’Iran, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, plus l’Allemagne, et l’Union européenne, intervient à un moment historiquement propice. Il y a soixante-dix ans le mois prochain, les bombes nucléaires lâchées sur Hiroshima et Nagasaki ouvraient le chapitre le plus sombre de la longue histoire des horreurs commises en temps de guerre par l’humanité. Au feu, aux balles et aux baïonnettes s’ajoutaient les radiations nucléaires – un tueur invisible, à l’instar des gaz et des agents biologiques.
STOKHOLM – L’accord sur le programme nucléaire iranien conclu entre l’Iran, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, plus l’Allemagne, et l’Union européenne, intervient à un moment historiquement propice. Il y a soixante-dix ans le mois prochain, les bombes nucléaires lâchées sur Hiroshima et Nagasaki ouvraient le chapitre le plus sombre de la longue histoire des horreurs commises en temps de guerre par l’humanité. Au feu, aux balles et aux baïonnettes s’ajoutaient les radiations nucléaires – un tueur invisible, à l’instar des gaz et des agents biologiques.