LONDRES – A l’heure où les soldats américains et ceux de l’OTAN se préparent à passer un dixième Noël en Afghanistan, le dernier mot à la mode est : « transition », le processus de transfert de la responsabilité en matière de sécurité des forces internationales aux forces afghanes avant le retrait des troupes étrangères, qui devrait débuter au printemps 2011. Mais, pour réaliser cet espoir que mettent dans ce nouveau jargon les soldats ordinaires, les dirigeants occidentaux devront concevoir une stratégie politique claire pour l’Afghanistan, sans quoi le pays restera en guerre.
LONDRES – A l’heure où les soldats américains et ceux de l’OTAN se préparent à passer un dixième Noël en Afghanistan, le dernier mot à la mode est : « transition », le processus de transfert de la responsabilité en matière de sécurité des forces internationales aux forces afghanes avant le retrait des troupes étrangères, qui devrait débuter au printemps 2011. Mais, pour réaliser cet espoir que mettent dans ce nouveau jargon les soldats ordinaires, les dirigeants occidentaux devront concevoir une stratégie politique claire pour l’Afghanistan, sans quoi le pays restera en guerre.