TOKYO — La Brookings Institution à Washington, DC - peut-être le premier groupe de réflexion du monde - fait l'objet d'une surveillance accrue pour avoir reçu des donations à six chiffres du géant chinois des télécommunications Huawei, que beaucoup considèrent comme une menace pour la sécurité. Et depuis l'assassinat barbare du journaliste saoudien Jamal Khashoggi en octobre dernier, bien d'autres groupes de réflexion basés à Washington ont été sommés d'arrêter d'accepter des donations de l'Arabie Saoudite.
TOKYO — La Brookings Institution à Washington, DC - peut-être le premier groupe de réflexion du monde - fait l'objet d'une surveillance accrue pour avoir reçu des donations à six chiffres du géant chinois des télécommunications Huawei, que beaucoup considèrent comme une menace pour la sécurité. Et depuis l'assassinat barbare du journaliste saoudien Jamal Khashoggi en octobre dernier, bien d'autres groupes de réflexion basés à Washington ont été sommés d'arrêter d'accepter des donations de l'Arabie Saoudite.