PARIS – Juste après le discours prononcé à Lancaster House par la Première ministre britannique Theresa May, où celle-ci a fixé dans les grandes lignes les objectifs de son gouvernement pour les négociations sur le retrait du Royaume-Uni hors de l’Union européenne, un expert bien connu, commentateur de la vie politique outre-Manche, qui travailla autrefois au 10, Downing Street, me confiait avoir été positivement impressionné. « Vous ne pouvez plus parler, désormais, de la “ perfide Albion ” », m’a-t-il lancé, lorsque nous nous sommes retrouvés dans un club londonien, « Theresa May a été on ne peut plus claire : la sortie des Britanniques – le Brexit – est bel et bien une sortie. »
PARIS – Juste après le discours prononcé à Lancaster House par la Première ministre britannique Theresa May, où celle-ci a fixé dans les grandes lignes les objectifs de son gouvernement pour les négociations sur le retrait du Royaume-Uni hors de l’Union européenne, un expert bien connu, commentateur de la vie politique outre-Manche, qui travailla autrefois au 10, Downing Street, me confiait avoir été positivement impressionné. « Vous ne pouvez plus parler, désormais, de la “ perfide Albion ” », m’a-t-il lancé, lorsque nous nous sommes retrouvés dans un club londonien, « Theresa May a été on ne peut plus claire : la sortie des Britanniques – le Brexit – est bel et bien une sortie. »