NEW YORK – Il y a pile soixante-dix ans ce mois-ci, à Munich, le Premier ministre britannique Neville Chamberlain signait un document permettant à l’Allemagne de s’octroyer un gros morceau de la Tchécoslovaquie. Les “accords de Munich” seraient considérés plus tard comme une trahison abjecte à l’égard de ce que Chamberlain appelait “un pays lointain duquel on ne sait pas grand-chose.” Mais ils n’étaient pas beaucoup à penser ainsi à l’époque.
NEW YORK – Il y a pile soixante-dix ans ce mois-ci, à Munich, le Premier ministre britannique Neville Chamberlain signait un document permettant à l’Allemagne de s’octroyer un gros morceau de la Tchécoslovaquie. Les “accords de Munich” seraient considérés plus tard comme une trahison abjecte à l’égard de ce que Chamberlain appelait “un pays lointain duquel on ne sait pas grand-chose.” Mais ils n’étaient pas beaucoup à penser ainsi à l’époque.