LONDRES – La pandémie COVID-19, la hausse des taux de pauvreté et d'inégalité dans le monde, les conflits persistants et le nombre croissant de crises climatiques et de biodiversité sont autant de chocs et de stress qui contribuent chacun à leur manière à aggraver le risque de famine, d'insécurité alimentaire et nutritionnelle. Afin d'aider à résoudre ce problème urgent plus efficacement et de rendre le système alimentaire mondial plus stable et plus résilient, les gouvernements doivent envisager la création d'un nouveau Conseil de stabilité des systèmes alimentaires (CSSA) multilatéral, sous la direction des Nations Unies.
LONDRES – La pandémie COVID-19, la hausse des taux de pauvreté et d'inégalité dans le monde, les conflits persistants et le nombre croissant de crises climatiques et de biodiversité sont autant de chocs et de stress qui contribuent chacun à leur manière à aggraver le risque de famine, d'insécurité alimentaire et nutritionnelle. Afin d'aider à résoudre ce problème urgent plus efficacement et de rendre le système alimentaire mondial plus stable et plus résilient, les gouvernements doivent envisager la création d'un nouveau Conseil de stabilité des systèmes alimentaires (CSSA) multilatéral, sous la direction des Nations Unies.