LONDRES – Je perds de plus en plus espoir quant aux perspectives d’une reprise rapide de la récession globale. Les plans de relances coordonnés (5 trillions de dollars) lancés par les principaux gouvernements de la planète ont permis d’arrêter la chute mais n’ont pas produit le rebond nécessaire. La frustration actuelle est fort bien résumée par The Economist dans le gros titre d’une de ses récentes premières pages : « Grow, dammit, grow. » (En avant, non d’un chien, en avant, ndt)
LONDRES – Je perds de plus en plus espoir quant aux perspectives d’une reprise rapide de la récession globale. Les plans de relances coordonnés (5 trillions de dollars) lancés par les principaux gouvernements de la planète ont permis d’arrêter la chute mais n’ont pas produit le rebond nécessaire. La frustration actuelle est fort bien résumée par The Economist dans le gros titre d’une de ses récentes premières pages : « Grow, dammit, grow. » (En avant, non d’un chien, en avant, ndt)