Il y a deux mois, les commentateurs politiques parisiens étaient unanimes : la course à la présidence restait ouverte, mais Ségolène Royal était clairement donnée favorite. Aujourd’hui la situation semble s’être inversée. Bien que rien ne soit encore joué, Nicolas Sarkozy arrive régulièrement en tête des sondages, et semble avoir également rallié à sa cause ceux qui le déclaraient perdant au mois de décembre. Le nouveau consensus peut être défini ainsi : Ségolène Royal ne peut pas battre Nicolas Sarkozy, mais Sarkozy pourrait encore provoquer sa propre défaite.
Il y a deux mois, les commentateurs politiques parisiens étaient unanimes : la course à la présidence restait ouverte, mais Ségolène Royal était clairement donnée favorite. Aujourd’hui la situation semble s’être inversée. Bien que rien ne soit encore joué, Nicolas Sarkozy arrive régulièrement en tête des sondages, et semble avoir également rallié à sa cause ceux qui le déclaraient perdant au mois de décembre. Le nouveau consensus peut être défini ainsi : Ségolène Royal ne peut pas battre Nicolas Sarkozy, mais Sarkozy pourrait encore provoquer sa propre défaite.