PARIS – Les scénaristes de Hollywood prennent souvent des libertés avec la vérité historique ; mais les metteurs en scène ont en général le bon sens de ne pas blanchir les sadiques et les meurtriers. A l’exception du nouveau film de Steven Soderbergh sur Che Guevara qui fait précisément cela, et pire encore.
PARIS – Les scénaristes de Hollywood prennent souvent des libertés avec la vérité historique ; mais les metteurs en scène ont en général le bon sens de ne pas blanchir les sadiques et les meurtriers. A l’exception du nouveau film de Steven Soderbergh sur Che Guevara qui fait précisément cela, et pire encore.