DURHAM – En 1842, le réformateur social anglais Edwin Chadwick documenta une divergence de 30 ans entre l’espérance de vie des individus issus des classes sociales les plus pauvres et ceux de la gentry. Aujourd’hui, les personnes habitant dans les zones les plus aisées de Grande Bretagne, comme Kensington et Chelsea, peuvent s’attendre à vivre 14 années de plus que celles qui vivent dans les villes plus pauvres comme Glasgow.
DURHAM – En 1842, le réformateur social anglais Edwin Chadwick documenta une divergence de 30 ans entre l’espérance de vie des individus issus des classes sociales les plus pauvres et ceux de la gentry. Aujourd’hui, les personnes habitant dans les zones les plus aisées de Grande Bretagne, comme Kensington et Chelsea, peuvent s’attendre à vivre 14 années de plus que celles qui vivent dans les villes plus pauvres comme Glasgow.