L'une des conséquences de la guerre en Irak a été de montrer - une fois de plus - que l'opposition entre civilisation et barbarie n'a pas de sens. Les Etats-Unis semblent aussi capables de barbarie que quiconque, comme en témoignent les exactions de la prison d'Abou Ghraib. Souvent, les brutalités en Irak ne sont pas mentionnées : par exemple lorsque des chars américains déferlent sur des quartiers irakiens et tuent des dizaines d'innocents au nom de la lutte contre les " insurgés ". Mais personne n'a l'apanage de la barbarie, comme en atteste la sinistre décapitation d'un otage américain.
L'une des conséquences de la guerre en Irak a été de montrer - une fois de plus - que l'opposition entre civilisation et barbarie n'a pas de sens. Les Etats-Unis semblent aussi capables de barbarie que quiconque, comme en témoignent les exactions de la prison d'Abou Ghraib. Souvent, les brutalités en Irak ne sont pas mentionnées : par exemple lorsque des chars américains déferlent sur des quartiers irakiens et tuent des dizaines d'innocents au nom de la lutte contre les " insurgés ". Mais personne n'a l'apanage de la barbarie, comme en atteste la sinistre décapitation d'un otage américain.