Moscou - Le 4 octobre 1957, mon père, Nikita Krouchtchev, attendait un appel téléphonique important. L’ingénieur en chef Sergueï Korolev devait l’appeler depuis le site de lancement de Tyura-tam au Kazakhstan (plus tard rebaptisé cosmodrome de Baïkonour), pour rendre compte du lancement du premier satellite artificiel.
Moscou - Le 4 octobre 1957, mon père, Nikita Krouchtchev, attendait un appel téléphonique important. L’ingénieur en chef Sergueï Korolev devait l’appeler depuis le site de lancement de Tyura-tam au Kazakhstan (plus tard rebaptisé cosmodrome de Baïkonour), pour rendre compte du lancement du premier satellite artificiel.