CAMBRIDGE – Les investisseurs internationaux sont totalement abasourdis par la décision de Dubaï d’autoriser le fleuron de ses sociétés privées, Dubaï World, à requérir un moratoire de six mois (impliquant au moins un défaut de paiement partiel) sur le règlement de près de 26 milliards de dollars de dettes. A quoi pouvaient bien s’attendre les investisseurs en achetant des actions de sociétés avec des noms tels que « Monde sans Limite », l’une des filiales immobilières de Dubaï World mise en faillite ? Voilà bien là une mentalité spéculative.
CAMBRIDGE – Les investisseurs internationaux sont totalement abasourdis par la décision de Dubaï d’autoriser le fleuron de ses sociétés privées, Dubaï World, à requérir un moratoire de six mois (impliquant au moins un défaut de paiement partiel) sur le règlement de près de 26 milliards de dollars de dettes. A quoi pouvaient bien s’attendre les investisseurs en achetant des actions de sociétés avec des noms tels que « Monde sans Limite », l’une des filiales immobilières de Dubaï World mise en faillite ? Voilà bien là une mentalité spéculative.