PARIS – Le principal paradoxe de la politique française s’est une fois encore confirmé ce 27 mars. Le Front National a remporté 11% des voix au second tour des élections cantonales, mais ne s’est assuré que 0,1% des sièges, soit deux conseillers généraux.
PARIS – Le principal paradoxe de la politique française s’est une fois encore confirmé ce 27 mars. Le Front National a remporté 11% des voix au second tour des élections cantonales, mais ne s’est assuré que 0,1% des sièges, soit deux conseillers généraux.