Dans le parc national Madidi, une femme de la tribu indienne des Tacanas me disait la semaine dernière : « la Bolivie est un pays riche ». Plus tôt dans la journée, nous avions vu une centaine de singes capucins et de singes-écureuils se précipiter en bas de la couverture forestière de la jungle amazonienne pour aller se prélasser sur les rives du lac Chalalan, tandis que son cousin, un guérisseur, bénissait des feuilles de coca alors que la séance vespérale de tambours et de danse commençait.
Dans le parc national Madidi, une femme de la tribu indienne des Tacanas me disait la semaine dernière : « la Bolivie est un pays riche ». Plus tôt dans la journée, nous avions vu une centaine de singes capucins et de singes-écureuils se précipiter en bas de la couverture forestière de la jungle amazonienne pour aller se prélasser sur les rives du lac Chalalan, tandis que son cousin, un guérisseur, bénissait des feuilles de coca alors que la séance vespérale de tambours et de danse commençait.