SOFIA – La disparition de toute confiance envers les institutions démocratiques et les dirigeants politiques est l'une des conséquences les plus troublantes de la crise financière. En 2012, le "Baromètre de la confiance", le sondage réalisé par la firme de relations publiques internationale Edelman a enregistré la chute de confiance la plus importante jamais mesurée à l'égard de l'Etat. "Plus de transparence", le nouveau mantra des militants de la moralité en politique et d'un nombre croissant de gouvernements démocratiques, suffira-t-il à renverser cette tendance ?
SOFIA – La disparition de toute confiance envers les institutions démocratiques et les dirigeants politiques est l'une des conséquences les plus troublantes de la crise financière. En 2012, le "Baromètre de la confiance", le sondage réalisé par la firme de relations publiques internationale Edelman a enregistré la chute de confiance la plus importante jamais mesurée à l'égard de l'Etat. "Plus de transparence", le nouveau mantra des militants de la moralité en politique et d'un nombre croissant de gouvernements démocratiques, suffira-t-il à renverser cette tendance ?