La France a désormais rejoint le Portugal et l'Allemagne en brandissant le Pacte de stabilité, l'accord conclu entre les membres de la zone euro pour garder leur déficit au-dessous d'un seuil critique (3 % du PNB aujourd'hui, mais probablement à un seuil inférieur dans le futur). Pierre Raffarin, le premier ministre français, a défendu la position de son gouvernement en déclarant que la France n'était pas prête à imposer une certaine austérité à son peuple.
La France a désormais rejoint le Portugal et l'Allemagne en brandissant le Pacte de stabilité, l'accord conclu entre les membres de la zone euro pour garder leur déficit au-dessous d'un seuil critique (3 % du PNB aujourd'hui, mais probablement à un seuil inférieur dans le futur). Pierre Raffarin, le premier ministre français, a défendu la position de son gouvernement en déclarant que la France n'était pas prête à imposer une certaine austérité à son peuple.