MILAN - J'ai été étonné par le reportage récent dans la presse américaine sur le prix de l’essence et la politique. Les experts politiques s'accordent à dire qu’il existe une forte corrélation entre la cote présidentielle et les prix du carburant : lorsque les prix montent, la cote du président baisse dans les sondages. Mais en raison de la longue histoire de l'Amérique, de sa négligence en matière de sécurité énergétique et de la capacité d'adaptation de son économie, l'idée selon laquelle l'administration de Barack Obama serait responsable de la hausse du prix du carburant semble peu raisonnable.
MILAN - J'ai été étonné par le reportage récent dans la presse américaine sur le prix de l’essence et la politique. Les experts politiques s'accordent à dire qu’il existe une forte corrélation entre la cote présidentielle et les prix du carburant : lorsque les prix montent, la cote du président baisse dans les sondages. Mais en raison de la longue histoire de l'Amérique, de sa négligence en matière de sécurité énergétique et de la capacité d'adaptation de son économie, l'idée selon laquelle l'administration de Barack Obama serait responsable de la hausse du prix du carburant semble peu raisonnable.