MADRID – La crise financière mondiale a servi de catalyseur rapide et efficace pour le G20. On se souviendra des trois premiers sommets des chefs d’état du G20 à Washington, Londres et Pittsburgh, pour avoir fait avancer le multilatéralisme et une action globale coordonnée. Mais le G20 reste malgré tout une ouvre en chantier – loin d’être terminée, ainsi que l’a démontré le récent sommet de Toronto.
MADRID – La crise financière mondiale a servi de catalyseur rapide et efficace pour le G20. On se souviendra des trois premiers sommets des chefs d’état du G20 à Washington, Londres et Pittsburgh, pour avoir fait avancer le multilatéralisme et une action globale coordonnée. Mais le G20 reste malgré tout une ouvre en chantier – loin d’être terminée, ainsi que l’a démontré le récent sommet de Toronto.