Les conséquences d’Angela Merkel

LONDRES – L’Allemagne a pris la tête de l’opposition de l’Union Européenne à une quelconque dépréciation de la dette souveraine de tout pays de la zone euro pris dans la tourmente. Elle préféré accepter le principe des mécanismes de renflouement tel que le Mécanisme européen de stabilisation financière, qui permet de prêter jusqu’à 500 milliards d’euros (680 milliards de dollars) associé à un apport de 250 milliards de d’euros du Fonds Monétaire International.

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