BERLIN – Mais que s’est-il passé sur les marchés financiers de la planète ? En bref : l’implosion du meilleur des mondes de la finance moderne et la crise économique qui a suivi étaient ancrés dans l’idée que les marchés de capitaux libres et non régulés fonctionnent toujours pour le bien public, et sont tout ce qu’il faut pour prospérer économiquement. Le prologue à la crise combinait crédit bon marché, dérégulation et course au rendement chez les cadres pas effrayés par les risques connexes.
BERLIN – Mais que s’est-il passé sur les marchés financiers de la planète ? En bref : l’implosion du meilleur des mondes de la finance moderne et la crise économique qui a suivi étaient ancrés dans l’idée que les marchés de capitaux libres et non régulés fonctionnent toujours pour le bien public, et sont tout ce qu’il faut pour prospérer économiquement. Le prologue à la crise combinait crédit bon marché, dérégulation et course au rendement chez les cadres pas effrayés par les risques connexes.